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« La Bataille des Haies » – Diorama dans le Bocage Normand

Présentation du sujet

Mon sujet s’orientera plus précisément sur la « La Bataille des Haies » dans son ensemble (13 juin au 24 juillet 1944).

L’idée n’est pas de refaire une scène à l’identique sur base d’une image d’époque, mais de réaliser un diorama au 1/72e illustrant une zone de combat dans le Bocage Normand. Représenter les particularités du terrain, ses champs « carrés », ses hautes haies et chemin creusés et toutes les contraintes en résultant pour les alliés, à savoir :

  • La défensive favorable aux troupes allemandes
  • L’offensive rendue difficile aux alliés

Des véhicules et des figurines (US & GE) y seront intégrés, ainsi que l’une ou l’autre pièce d’artillerie GE (Canon). J’appuierai mon article, parallèlement à mes phases de montage, avec différentes images illustratives d’époques, ainsi que diverses explications sur le sujet. Petite particularité pour mon dio, je me rendrai dans la région de Saint-Lô à la mi-mars et en profiterai pour me fournir en matière première du Pays ! (Terre et végétation principalement).

Voici les kits pour réaliser mon projet. On est principalement sur du « Fast Assembly », mais l’objectif est de vraiment réaliser un dio le plus représentatif …et le plus simple de compréhension pour un devoir de mémoire accessible à tous.

Quelques supports vidéos intéressants ou l’on parle du sujet :

Partie 1 : Introduction – La situation sur le terrain

Si le débarquement du Jour-J et la consolidation de la tête de pont sur les plages de Normandie sont partiellement remplis, il est encore essentiel pour les troupes alliées, concentrées le long des côtes de la Manche, de réaliser une percée significative à travers les défenses Allemandes.

Le 18 juin 1944, la prise de Barneville-Carteret isole le Cotentin et permet aux Alliés d’envisager la prise de Cherbourg. Le port en eaux profondes tombe aux mains des Américains une semaine plus tard. Pendant ce temps, le Général Bernard Montgomery et ses trois divisions blindées britanniques peine à reprendre Caen. Le succès est contrarié par une forte résistance des troupes ennemies bien en place. Les troupes américaines n’ont d’autres choix que de tenter de percer le front ennemi par le Cotentin. La Bataille des Haies commence ! Elle opposera la 1ère armée américaine du Général Omar Bradley au LXXXIV (84e) corps du Général Dietrich von Choltitz.

Le 13 juin, quelques jours après le débarquement, et jusqu’au 24 juillet 1944 début de l’Opération COBRA, dans le Cotentin puis dans le centre et le sud-Manche, l’armée américaine menée par le Commandant Suprême des Forces Expéditionnaires Alliés, le général Dwight David Eisenhower, livrera de durs combats contre les troupes du Reich.

Malgré de nombreux faits héroïques, ayant fait de nombreuses victimes chez les alliés, cette bataille reste un peu oubliée.

Partie 2 : Le bocage Normand

Zone de mise à mort par un ennemi imprévu…et naturel !

Le général Bradley n’a pas tardé à découvrir la réalité de ce terrain hostile. Le bocage créait de nombreuses contraintes aux véhicules blindés, dans les mouvements et dans les offensives de l’infanterie alliée. Ce labyrinthe à damiers de pâturages permettait à seulement quelques individus allemands de stopper un bataillon complet américain.

Vue aérienne du bocage Normand

En travers du Cotentin, les haies vives forment une ligne de défense naturelle. Souvent de la hauteur et de l’épaisseur d’un tank, elles se couronnent de buissons épineux, d’arbustes et de ronces. Leurs racines maintiennent la terre tassée comme l’acier renforce le béton armé ! Nombre d’entre elles se doublent de profonds fossés de drainage.

 

Vue en profondeur d’un chemin bocager longé de haies

Un moyen de défense stratégique pour les troupes du Reich ! 

D’un point de vue opérationnel, cette succession de près et de haies empêche l’alignement du front d’attaque américain et facilite les prises de flancs. D’un point de vue tactique, chaque haie présente un nouveau retranchement à conquérir, exposant aux coups des défenseurs, l’infanterie et les blindés alliés à courte portée de tir telle une succession d’embuscades. Or l’état-major américain n’avait pas prévu de disputer des combats intenses dans cette zone et sous-estima les difficultés de la configuration du terrain, rendant difficile tout mouvement de chars ou la progression des hommes disposant de peu de visibilité.

Succession de haies empêchant la constitution d’un front offensif

Les haies favorisent les positions défensives allemandes et leur camouflage. Les unités de la Wehrmacht auxquelles les alliés doivent faire face sont plus expérimentées que les troupes qui stationnaient sur les côtes du débarquement. Elles savent tirer profit de ces petits prés clôturés par des talus et des hautes haies. Elles s’y camouflent facilement, rendant la suprématie aérienne alliée moins déterminante et l’artillerie américaine peu efficace.

Les Allemands mettent en place un dispositif dans lequel chaque point défensif d’un pré peut soutenir celui du pré voisin. Ce principe permettant, dès l’instant ou un périmètre, un pré était perdu, de revenir à l’offensive par les flancs.

Hommes de la Wehrmacht camouflés dans les haies

Le principe de défense des troupes allemandes

Les troupes du Reich ont eu quatre ans pour préparer les défensives.

La photo ci-contre illustre les 3 grands principes de défense, à savoir :

  • Canon PAK 43 88mm ou Pak 40 75 mm dans les angles de chaque champ
  • Mortiers 80mm réglés au préalable sur les accès possibles aux Alliés
  • Mines dissimulées sur le passage selon un quadrillage virtuel

Plan de défense GE d’une surface de Bocage

Mortier GE 80mm
Panzerjägerkanone 40 (PAK 40 – 75mm)
Panzerfaust
Sherman "cible" en bout de sentier bocager
Panzerschreck
Destruction de la "cible"

Présents aussi dans ce système de défense, de nombreux soldats camouflés sur des positions individuelles. Une grande partie d’entre eux étaient en possession d’armes individuelles (MG 42) ou collectives mais aussi des moyens portables antichars qu’étaient les panzerfaust et panzerschreck.

Ces armes antichars se montreront terriblement efficaces dans la destruction des chars alliés. Il suffisait aux fantassins un peu « kamikazes » d’attendre que le char soit en difficulté dans la traversée d’une haie, découvrant et offrant ainsi sa partie ventrale, sa partie la plus vulnérable par manque de blindage, pour décocher à très courtes portées, des coups presque toujours mortels. La traversée de ces zones bocageuses étant quasi impossible, les alliés n’avaient d’autres choix que d’emprunter les chemins. Ils devenaient ainsi également des cibles faciles pour les hommes du Reich.

Ils intégraient aussi des snipers, ceux-ci étant positionnés principalement sur des points stratégiques.

Partie 3 : Une Bataille……TROIS Grandes offensives dans dixit le Général Bradley :

« un foutu Pays !! »

L’avancée sur la Haye du Puits : Un homme perdu pour chaque mètre gagné.

Cherbourg est repris, les Américains vont à présent se tourner vers le front sud. Il est trop tard ! Les Allemands ont profité du cadeau pour faire monter des troupes supplémentaires au front, et surtout, établir une ligne de défense renforcée : La ligne Mahlman.

Du nom du général allemand qui en a dirigé l’opération, elle s’appuie intelligemment sur le terrain, avec les hauteurs qui entourent la Haye-du-Puits et les marais qui s’étalent les longs de Carentan et Périers. Pas de bunkers, pas de grosses batteries, mais des tranchées, des trous individuels, des nids de mitrailleuses et des armes antichars disséminées dans tous les coins que les « G.I’s » vont s’épuiser à neutraliser. C’est sous une pluie battante que le VIIIe corps du lieutenant-général Troy Houston Middleton lance son offensive le 3 juillet du sud de Saint-Sauveur-le-Vicomte en direction de Lessay et Coutance.

Cette météo pourrie sera de mauvais présage et les privera de l’appui aérien et des blindés. Comme les hommes de Middleton ont légèrement présumé de leurs forces, les Allemands se chargent férocement de leur rappeler que la guerre est encore loin d’être gagnée. La 82e division aéroportée emporte de haute lutte le Mont Étenclin et la butte de la Poterie. Ce sera là son dernier combat en Normandie. L’heure de la relève sonne enfin pour les hommes du général Matthew Bunker Ridgway, sur la brèche depuis le 6 juin. A l’ouest, la 79e division du général-major Ira Thomas Wyche a enlevé les hauteurs de Montgardon et le Mont-Doville, mais elle peine pendant plusieurs jours devant la Haye-du-Puits défendue par la 353e division allemande et des éléments de la 2e division SS « Das Reich ».

La 90e division du général-major Eugene Manuel Landrum connaît un nouveau calvaire sur les pentes du Mont-Castré. En appui des 3 divisions américaines, le 106e groupe de Cavalerie est arrivé en France sous le commandement du colonel Vennard Wilson. Sa première mission était d’aider à la réduction des forces allemandes précédemment isolées lors de l’avance du VIIIe Corps dans la péninsule du Cotentin en longeant le littoral ouest de La Hague au Mont-Saint-Michel. Tout en suivant parallèlement la progression du VIIIe corps vers le sud, le 106e longe le littoral ouest en partant de Portbail le 3 juillet et arrive à la pointe du havre de Saint-Germain-sur-Ay le 10 juillet.

Le 106e ne rencontrera que peu de résistance. Tous les combats vont encore durer quelques jours pour finalement rester maitres des lieux, puis s’emparer enfin de la Haye-du-Puits le 9 juillet (le 12 pour le Mont-Castré). Neuf jours de souffrance pour 10 kilomètres de gagnés et 10 000 hommes mis hors de combat. Un homme est tombé pour chaque mètre gagné.

Carte opérationnelle autour de la Haye-du-Puits

La bataille de Saint-Lô : La prise de la capitale des ruines dans la vallée de la mort.

Déjà bombardée dans la nuit du 6 juin, la capitale des ruines agonisera jusqu’au 18 juillet. Laissée pour morte et comptant de nombreuses victimes civiles, Saint-Lô sera confiée au 19e Corps de la 1e armée américaine, sous le commandement du général-major Charles Harrison Corlett. Les alliés pensaient pouvoir libérer la ville rapidement. Ils vont cependant avoir toutes les peines du monde à progresser jusqu’à elle, bloqués pendant un mois à quelques kilomètres. Solidement installée sur les points hauts de la ville, la 3e division de paras allemands du général Eugène Meindl, renforcée par des blindés et des SS, viendra se glisser devant eux et fermer les lignes. Avec le renfort de la 9e division d’infanterie et de la 3e division blindée, l’offensive est lancée vers le sud. Préparée trop hâtivement, l’opération tourne court. Une pagaille monstre engorge rapidement l’étroite voie menant vers Saint-Lô. L’offensif devra bientôt affronter la contre-attaque lancée par les chars de la division « Das Reich » et ceux de la Panzer Lehr, récemment déplacées du secteur de Tilly-sur-Seules pour contrer les Américains. L’assaut est définitivement stoppé devant Pont-Hébert par les canons de la 17e SS. Alliés et troupes du Reich se seront entretuer sans que les lignes ne bougent d’un mètre et 7000 soldats Américains de plus seront perdus en quelques jours.

Le général Bradley comprendra vite qu’il ne pourra atteindre la ligne Coutance – Saint-Lô, base de départ initialement prévue pour la percée décisive. Il choisira de lui substituer un objectif moins ambitieux, à savoir la route conduisant de la préfecture de la Manche à Périers. Toutefois, la prise de Saint-Lô demeurera un impératif !! Les 16 & 17 juillet, de rudes combats sont engagés pour la prise de la ville qui mènent le 18 juillet au repli progressif de l’armée allemande. Les éléments de tête de la 29e division se faufileront par petits groupes pour enfin pénétrer dans la « capitale des ruines », où les attend un spectacle de désolation ! Saint-Lô faisait songer à la vallée de l’ombre de la mort quand les troupes la traverseront. Il ne restait pratiquement plus aucune maison debout. Il faudra cependant attendre le 24 juillet pour que la capitale des ruines soit entièrement aux mains des alliés, empêchant ainsi les renforts allemands de venir depuis la Bretagne pour alimenter le front.

Comme un symbole, le corps du major Thomas Dry Howie, commandant du 3e bataillon sera déposé devant les restes de l’église Sainte-Croix, recouvert de la bannière étoilée, symbole du sacrifice consenti par des milliers de soldats pour la libération de Saint-Lô

Vers Sainteny et Périers : Symbole de violence dans le bocage du Cotentin.

A l’autre extrémité de la bataille, autour de Sainteny, on a pris les mêmes conditions et on a recommencé. Temps exécrable et des Allemands motivés qui savent utilisés le terrain pour se défendre. Ne pouvant guère avancer sur la route Carentan-Périers sous peine de se faire tirer comme des lapins, les Américains doivent aller patauger dans les marais pour espérer progresser. Et c’est bien évidement là que les hommes du Reich les attendent ! Le VIIe corps du général Joseph Lawton Collins recevra la mission de s’emparer de Périers.

L’assaut partira de Carentan au matin du 4 juillet. Le petit village de Sainteny est défendu par les grenadiers de la 17e SS, renforcés par le 6e régiment de parachutistes et une partie des chars de la division « Das Reich ». Pour la seule journée du 4 juillet, 1500 « boys » de la 83e division d’infanterie sont mis hors de combat. Il faudra finalement l’appui de l’aviation pour que Sainteny, réduit à un champ de ruines, tombe aussi le 9 juillet. Là aussi, l’addition est lourde pour les Américains : 6 Km de gagnés pour 5000 pertes.

Et ces Allemands, qui certes ont reculé…mais qui ont installé de nouvelles lignes de défense, là-bas, un peu plus loin. Ça n’en finira donc jamais !?

Par sa dureté et l’hécatombe provoquée, cette bataille pour Sainteny est demeurée l’un des symboles de la violence des affrontements dans le bocage du Cotentin.

Partie 4 : La fin de la Bataille !

Au lendemain du 23 juillet, le bilan humain est lourd ! Trop lourd ! Le général Bradley donne l’ordre d’interrompre les opérations en raison de ces pertes excessives. Il faut trouver une solution pour sortir de ce maudit bocage et perforer ce front sur lequel les alliés buttent depuis un peu plus de 6 semaines. La Batailles des Haies doit se résoudre avec le déclenchement de l’opération Cobra.

Désormais, selon la nouvelle stratégie du même général Bradley, les Américains déversent des tapis de bombes pour broyer les défenses allemandes.

Grâce à ces tactiques, les alliés vont enfin prendre le dessus sur ces maudites haies. Les troupes ont pénétré les défenses ennemies vers l’intérieur, mais il reste encore un long chemin à parcourir jusqu’à Berlin !

Partie 5 : Le Plan du Diorama

A travers ce plan, on peut découvrir l’idée du diorama, c’est-à-dire, la reproduction d’une zone de combat dans la Bocage Normand. On y retrouve les aspects particuliers du terrain avec les prés carrés, les haies et les sentiers bocagers. Coté offensif, on retrouve les deux Sherman en progression frontale dans les prés et les deux M3 Half Track venant des flancs sur les chemins. La défensive est assurée par deux armes lourdes que sont les Panther Ausf.G au niveau de la protection des flancs et d’un appui feu direct sur le carrefour. Les Pak 40 sont positionnés en intérieur pour des secteurs de tirs axés sur les prés.

Partie 6 : Les « acteurs » du Diorama.

Comme expliqué dans ma présentation du sujet, on est principalement sur du « Fast Assembly ». Par conséquent, il n’y a pas énormément de travail ou plus particulièrement de technique et de complexité d’assemblage. Ci-dessous, une première vue d’ensemble des différents véhicules qui intégreront le diorama. Je compte également essayer d’y placer quelques figurines US & GE, ainsi qu’un élément « Mortier GE ». Je vais regarder ce qu’il existe à ce niveau….

Le M4A3 75mm Sherman

Un total de treize pièces compose ce blindé « mythique ». Les détails sont de bonnes qualités au niveau de la caisse et de la tourelle. On l’est un peu moins sur les trains chenillés. On peut remarquer les jonctions plastiques de certains composants (roues de routes, galets supports et barbotins).

Quatre couches (très diluées) de peinture Vallejo 70.894 CAM Verde Oliva ont été appliquées au pinceau de manière un peu grossière. Je suis assez content du résultat dans le sens ou cette application amène déjà un certain vieillissement « naturel ». Qui plus est à cette échelle du 1/72ième ou le détail ne ressort pas directement à l’œil nu.

A suivre……

Le M3 Half Track

La photo ci-contre illustre le résultat de l’assemblage sans peinture. Les sièges étant des éléments très visibles et assez dominants sur le véhicule, je les ai recouverts de peinture (Vallejo 70.882 Amarillo Piedra) non diluée avant la pose de quatre couches (très diluées) de peinture (Vallejo 70.894 CAM Verde Oliva) sur l’ensemble du véhicule. Grace à cette sous-couche non-diluée, j’obtiens des traces prononcées avec un peu de relief, mélange qui procure l’effet d’une certaine vétusté des sièges.

Un noir mat a été posé sur les pneus (Vallejo 70.822 German Brown).

A suivre……

Le PzKpfw. V Panther Ausf. G

Juste au stade de « dégrappage » pour l’instant…

Comme pour le Sherman, les détails sont de bonne qualité, exception faite à nouveau des trains chenillés….mais je pense que l’échelle, le positionnement et les effets dans le diorama pourront atténuer ces imperfections.

Ci-dessous, une vue des 2 blindés avec le Pak 40.

 

A suivre……

Le Pak 40

Surplus d’un ancien dio, il va intégrer ce projet. J’amènerai plus de détail dans l’assemblage du second canon que je devrais réaliser complétement.

A suivre……

Suivre Laurent Cama:
Militaire de carrière, je me suis pris de passion pour la Normandie, et tout particulièrement à la Bataille liée à celle-ci. Depuis maintenant +/- 7 ans, je m’y rends 2 à 3 fois par an afin d’y découvrir et visiter les plages, musées et sites dédiés à la Bataille de Normandie. Par passion de cette Bataille, je me suis lancé dans le monde de la maquette il y a un peu plus de 2 ans à l’aide de tutos (MERCI Didier pour tes précieux conseils !!!!). Mes quelques sujets (aux 1/72) sont uniquement orientés sur cette région et ses événements de cette période de la WWII.
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7 Commentaires
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JEAN-PHILIPPE LECLERC
Invité
JEAN-PHILIPPE LECLERC
23 mars 2024 9h45

super !, détaillé, intéressant, je suis en plus concerné ayant une petite maison près de La Haye du Puits, libérée le 08 juillet par la 79th division, merci pour ton travail et ta passion.

Frédéric Triou
Auteur D2MM
11 mars 2024 20h51

Vaste sujet passionnant pour les passionnés !

Floppy
Auteur D2MM
9 mars 2024 17h31

C’est super intéressant et avec cette échelle tu peu te permettre de faire plein de belle chose, alors bravo et continue à nous partager ce beau projet qui nous intéressent tous. Merci et vivement la suite.

Martial HELLO
Invité
Martial HELLO
25 février 2024 11h02

Wouahhhh ! Là il va y avoir du montage à gogo à voir le nombre de boîte prévu. Je m’installe et je regarde ! ! ! Bravo.

Didier Lefebvre
Administrateur
17 février 2024 13h42

Passionnant ce début d’article Laurent, bravo !